Samedi 27 décembre 6 27 /12 /Déc 19:15
                          C’est le crépuscule l’heure ou toutes les chiennes sont grises. Le moment idéal pour me glisser dans le hall du sex shop rue chapeau a LYON. Avant de rentrer, je jette encore un coup d’œil circulaire par-dessus mon épaule. Je suis certes à 30 kilometres de villefranche sur saone ou je demeure.

                Pour eux je ne suis qu'un travelot anonyme pénétrant dans l'antre de la fornication. Car ce ciné porno est un lieu de rencontres aussi sordide que connu pour mecs en manque qui viennent se soulager dans la promiscuité et l'obscurité d'une salle Je ne me suis pas attardé au guichet après avoir payé, huit euros, mon jeton. C'est le Sésame qui commande l’ouverture du portillon anti-resquille.

                La première invitation n’a pas tardé et ne fait pas dans la dentelle. J’y réponds par un beau sourire vicieux et je roule la pointe de ma langue avec sensualité sur mes lèvres ce qui le rend cramoisi. Son regard libidineux me dévore mais je continue indifférent mon chemin. Une «salope !» rageur claque derrière moi. Quelquefois je prends mon pied à jouer les allumeuses. Je sais fort bien que pour ces hommes je ne suis qu’un trou, une bouche à vidange, un vide couilles. Mais cela me fait mouiller de les sentir fondre d'un désir libidineux. Je ne suis pourtant pas un homosexuel, un gay avec lesquels je n'ai finalement aucune affinité. Je serais plutôt ce que dans les milieux très glauques on appelle une lope. Un état que j'ai mis un certain temps assumé. J'ai déjà raconté comment adolescent j'ai été humilié pour ne pas savoir satisfaire les filles faute d'érection insuffisante. Étudiant, j'ai glissé vers des jeux de travestissements, puis des pratiques maso. Je me suis mis à rechercher des dominatrices. J' ai finalement trouvé une pro qui m'a travesti, piégé, avant de m'exploiter avec son proxo. Je me suis retrouvé au tapin à mi-tempsJ'en ai bavé mais quelque part j'étais consentant(e). Je reviendrai sur ces épisodes. En tout cas cela n'a pas empêché ma réussite dans les études, puis sociale et professionnelle mais je suis resté, j'en suis conscient, une pute dans l'âme qui sait utiliser la promotion canapé. J'ai souvent assouvi les désirs inavouables de certains de mes professeurs puis de ma hiérarchie, et il faut bien dire que ça aide. Je suis devenu un communicant bien établi et j'ai épousé une femme très brillante, Je ne peux bien sûr la satisfaire. Elle n'aurait pas été choquée par un vrai bisexuel mais elle méprise la lopette passive que je suis, comme elle dit un « garage à bites "» Elle a tout découvert, puis m' a contraint à passer des aveux complets. Mais elle s'est d'une certaine façon accommodée de la situation. Elle en profite désormais pour m'imposer sa domination et ses amants. Elle ne serait sans doute guère surprise de me savoir dans ce lieu. Je croise quelques spectateurs qui descendent, eux se sont déjà soulagés ou vidés. On le lit facilement sur leur visage honteux, Ils s’en vont le regard bas et fuyant comme tous les mecs qui quittent un hôtel de passe après avoir tiré leur coup.. Ce ciné draine une clientèle bien évidemment totalement masculine qui semble composée en grand partie d’immigrés arabes ou blacks. C’est en tout cas la plus voyante. Mais à regarder de plus près on se rend compte qu’il y a une autre composante bien différente. Des hommes murs, des retraités, de gros vicieux, venus de quartiers plus résidentiels, des cadres, des fonctionnaires qui font une halte en quittant leur bureau en ce lieu de perdition pour assouvir leurs fantasmes. Paradoxalement il n'y a pratiquement jamais de gay dans ce public, et les films que l'on projette ne le sont pas d'avantage. Les hommes ici sont presque tous des hétéros. Ce qu'ils viennent chercher ce ne sont pas des rapports homosexuels mais une vidange rapide dans une bouche ou un cul. Ou au minimum une branlette dans une ambiance glauque. Une jouissance bestiale et peut coûteuse qu'ils ne peuvent trouver ailleurs pour diverses raisons, souvent parce que leur femme est absente ou trop coincée. Alors peut importe qui effectuera la prestation. Aujourd'hui la moyenne d’âge tourne autour de la cinquantaine, avec des vieux, de très vieux cochons qui ne pensent qu'avec leur queue et conservent des possibilités d'erection étonnantes malgré l'âge avance.. De quoi faire le bonheur d’un gérontophile et j'en suis un sans doute ? En cette fin d'après midi il y a aussi de nombreux quadragénaires qui ont terminé leur journée. Il est facile de voir briller leur alliance quand leur main gauche se colle sur leur braguette gonflée. Leur épouse ne saurait imaginer où ils sont à cet instant. Je pousse la porte de la première salle. Comme toujours je suis d'abord saisi par l'odeur, une odeur acre, de fauve, de transpiration et surtout de sperme.


                      Du sperme il y en a partout. Séché ou encore frais, dans des capotes encore remplies qui traînent par terre. Il y en a sur les fauteuils qui en sont maculés. Il y en a même sur les murs où il a giclé. De l'écran ne proviennent que des cris rauques d'accouplement. Pas besoin de dialogue. Les images se limitent le plus souvent à des plans serrés de bites, de chattes, de culs de pénétrations ou de fellations Le porno le plus bas de gamme qui soit, projetés en boucle de midi a minuit. Si je viens à la séance de 18 heures, en semaine, c'est qu'elle offre le plus grand choix de bites, (de 45 à 77 ans) et beaucoup d'hommes mariés. Le week-end est déconseillé si on ne veut pas être asphyxié et littéralement ou noyé dans le sperme. Je suis donc dans la place avec ma perruque, et mon léger maquillage. Pour le reste je semble habillé normalement mais pour longtemps. Car sans m'asseoir, je me livre à un petit streap tease presque dans l'axe de l'écran, sous des dizaines de paires de yeux avides. J'enlève le coupe vent que je porte et que dans la rue j'avais fermé jusqu'au cou. Dans les reflets de la projection je laisse entrevoir ma nuisette, transparente un soutif rouge, provocant. Puis je retire mon jean que je roule sous un fauteuil. Je ne porte pas de slip, mais je suis en bas et porte jarretelle, le trou du cul à l’air. Un petit triangle noué sur ma taille masque ma petite queue qui est courte et molle, un clito comme dirait ma femme par dérision. Mais de toute façon il ne va pas servir. Enfin je mets mes talons aiguilles que j’ai amené dans un sachet. Me voilà paré pour faire la salope. D'autres qui ont la même fonction de vidange que moi sont déjà au turbin, travesties ou non. Il y en a pour tous les goûts. Mais les spectateurs ne sont pas des esthètes. Ils viennent ici pour se vider, dans tous les trous qu’ils trouvent. Nous sommes leurs « femmes », leurs « meuf » qu’ils baisent. Dans les toilettes, pour les plus timides. Mais ça fornique aussi partout dans la salle même. Dans la pénombre entre les rangées de fauteuils et même dans l'allée centrale se meuvent des masses informes d'où montent soupirs, et grognements de lupanar. Plus reconnaissables sont les cris de jouissances et de douleur des lopes comme moi dont on force le cul sans ménagement. Des sons qui se mêlent à ceux du film porno. Certains des baiseurs poussent même le vice à être synchrone avec la scène qui se déroule sur l’écran. Ou ne va pas se nicher l'art? Dans ma tenue de pute je commence tout de suite par faire le régal des voyeurs. Ceux qui viennent seulement pour regarder et se branler sans oser aller au contact physique, soit parce que ça leur suffit ou alors parce qu'ils n'osent franchir le pas de l'homosexualité, transgresser le tabou. Le film crée l'ambiance mais le vrai spectacle, comme l'action se déroulent surtout dans la salle. Je suis à peine en petite tenue, et mes yeux ne sont pas encore habitués à l’obscurité que c’est déjà la ruée sur mon corps. Pas de panique. Fort heureusement j'ai l'habitude. Des bras m’agrippent de tous les côtés et me palpent. Les plus rapides se portent sur mes fesses et commencent à me doigter, un, deux, trois, doigts s’introduisent quelquefois en même temps dans mon cul. Quand ce n’est pas une main ! Heureusement l'expérience aidant j'ai pris mes précautions. Mon cul est bien lubrifié. Quelques minute auparavant je suis allé dans les toilettes d'un bistrot et j'ai introduit un tube de vaseline que j'ai toujours sur moi dans l'anus, et je l'ai vidé. La graisse dégouline un peu entre mes cuisses mais c'est plus sécuritaire, et c'est mieux que de risquer l'enculage à sec.






 Car on ne sait jamais on peut tomber sur un zob monstrueux qui déchire tout! Les mains semblent se multiplier comme des tentacules qui prennent ce qu’elles peuvent, se baladent sur mes seins, sous mes aisselles ou dans mon entre cuisse. Des langues humides me fouillent les oreilles, je détourne en général la tête quand on essaye de m’embrasser sur la bouche, mais ce n’est pas toujours possible. C’est la mêlée, sur mon corps et quelquefois l’échauffourée. On s’insulte, en français, en arabe ou en portugais, on se bouscule pour avoir quelques centimètres carrés de chair fraîche, ma viande ou de mes bourrelets de graisse à palper. Bien évidemment je ne suis pas la seule à avoir autant de succès, toutes les autres salopes qui osent se risquer dans cette salle en ont leur part. Comme moi il ne s’agit pas de professionnelles à part entière. Il n'y a pas beaucoup de fric à gratter en ces lieux, une fois que les clients aux revenus souvent très modestes qui ont acheté leur ticket d’entrée, dix balles. Même si c'est moins cher qu'une passe. Le patron du ciné ferme les yeux sur ce qui se passe dans les salles. Il accueille même plutôt bien les lopes comme moi car il sait que nos culs offerts beaucoup plus rares que les bites en rut attirent du monde. Sans doute plus que la projection elle-même. - C’est super crade mais c’est beaucoup plus jouissif que les endroits cleans me glisse une jolie trav qui me salue comme une consœur tout en se faisant tirer par un grand costaud, et que d'autres sont en file d'attente... J’entends souvent son couinement très caractéristique quand on l’encule. On finit par se reconnaître dans l'obscurité à ce genre de détails. A ma différence elle n’a pas de perruque, mais de beaux cheveux longs naturels qui lui donne un air à la fois baba-cool et très efféminée. Il m'a alors été facile d'identifier un jeune et brillant fonctionnaire de haut niveau que j 'ai croisé à un dîner très conventionnel, chez des amis. M'a-t-il lui aussi reconnu dans mon accoutrement de salope? Je n’en sais rien mais peu importe ce soir nous sommes dans le même bordel remplissant la même fonction lui avec son cul d'éphèbe, moi de salope mure. Je n'ai hélas! Pas le temps de méditer sur cette situation cocasse. C’est le moment critique. Les bites sont sorties du fourreau et sont déjà au contact de ma raie. Certains, comme toujours essayent de me forcer le cul sans crier gare, et surtout sans préservatif. Car beaucoup ici trouvent la capote superflue et surtout qu'elle gâche le plaisir. Une fois j’ai même du m’extirper péniblement à quatre pattes de la mêlée pour ne pas être violé sans protection. Mais très vite j'ai appris comment faire au contact des autres «filles. Il faut se faire « protéger » dans la salle par des habitués, les plus costauds, qui s’improvisent « agents de sécurité. » Ils font la police autour de notre cul. En contre partie ils peuvent nous baiser tranquillement dans un coin retiré quand ils veulent, en général après le gang bang. Ils leurs arrivent également de nous conduire moi ou d’autres comme des truies dans un couloir désaffecté de ce vieux ciné, dont ils connaissent les moindres recoins, pour nous faire sodomiser individuellement par quelques timides ou par des messieurs qui ont besoin d'un minimum de confort. Ce sont en général des profils plus bcbg, des employés de bureau qui en fin d’après midi se sont glissés honteusement dans la salle pour prendre leur pied, voir et faire ce qu'ils n'oseront jamais demandé à leur femme ou a leur maîtresse qu'ils respectent trop. Si certains se contentent de la branlette du voyeur, d’autres voudraient passer à l’acte mais n’osent affronter la meute pour se faire une place sur un trou. Alors nos protecteurs les repèrent et contre quelques euros leur offrent nos fesses. Ils en font même un bout de réclame. Le mien est un vrai agent de publicité. Je l'ai entendu dire. - Regarde ma meuf, elle a un beau cul, une vraie pouffiasse, tu peux la niquer dans toutes les positions… Je peux t’arranger ça.. Emballé, c’est vendu…Nous sommes donc dans ce ciné d'une certaine façon leur putain mais c’est dans la logique des choses, et nous y gagnons en tranquillité. «Ici c'est moi qui te prends en main et ton nom maintenant c'est Sandra... Tu n'auras rien à craindre je suis là » C’est comme cela que Farid, une trentaine d’année, un physique lourd de catcheur, est devenu en deux secondes mon protecteur sans me laisser d'autre choix. Ce soir il veille encore consciencieusement au grain juste derrière mon cul. Tout à l’heure il va se payer sur mon cul en nature mais pour l'heure il fait passer les messages aux mâles en rut qui ne me connaissent pas encore. – La rousse c'est une de mes meuf tu peux y aller à ton tour mais attention tu la baise avec capote … La rousse, « sa » meuf, c'est moi évidemment! Deux blacks qui me ciblaient, leur queue déballée, ont aussitôt déclaré forfaits, et sont partis chercher un autre cul. C'est comme ça. Certains restent allergiques à la capote. Il faut le savoir mais surtout rester ferme et ne pas baisser la garde. Je peux me le permettre. Malgré mon intransigeance, malgré la concurrence déloyale des salopes inconscientes qui se font remplir le cul de sperme ou le bouffent, je ne souffre pas d'une pénurie de queues. Loin de là même! Et la ruée sur mes fesses continue. Pas question de choisir un partenaire, il faut subir ce qui vient comme une fille d'abattage. Comme les culs offerts, particulièrement dans ce lieu, sont beaucoup plus rares que les queues en rut, et que la demande est largement supérieure à l’offre, ça frôle quelquefois l’émeute ! Très vite je sens qu’une bite me force.. Je suis maintenant à quatre pattes. Je passe ma main entre mes cuisses, attrape la verge chaude, noueuse et bandée de celui qui se présente le mieux derrière. Je l’aide à m’enfiler pour qu’il ne cherche pas désespérément mon trou dans l’obscurité. Cela me permet aussi de vérifier s’il a bien mis sa capote. Malgré mon garde du corps un petit malin peut toujours profiter de l'obscurité. Ma bouche non plus ne reste pas longtemps inoccupée. Les mecs tournent autour de moi m'enfilent à la fois devant et derrière. Le ventre de celui qui à l'instant me défonce le fion doit être confortable car il me cogne les fesses à un rythme soutenu. Mais j'ai l'impression qu'il s’attarde un peu trop, plus de …cinq minutes. Sa queue est longue et remonte haut dans mon cul. Visiblement il fait durer son plaisir à moins qu’il ne soit long à éjaculer. Tout est relatif mais ici c’est la baise tgv, sinon on se fait éjecter par ceux qui attendent leur tour de vidange. Et Farid doit souvent s'interposer. D’ailleurs ça proteste. Dans un effort final pour jouir, il me donne de violents coups de reins mais ne parvient qu’à me déséquilibrer. Je suis en levrette et je pars fort en avant. La verge de celui que je suce en même temps se tord dans ma bouche. Il crie de douleur. Les protestations montent. Farid intervient et oblige mon enculeur à se retirer. - Tu essayeras après… L'homme est mécontent, il n’a pas joui dans mes fesses. Dans la culture ambiante, ce type d’échec n’est guère valorisant. Alors il faut une excuse. Elle est toute trouvée - Moi avec un caoutchouc sur le zob j’arrive pas à jouir ! - Tu étais prévenu que Sandra je la fais enculer avec capote! Rétorque Farid qui ajoute, C’est à prendre ou à laisser, va au fond de la salle si tu veux, un peu plus tard j’ai une autre meuf que tu pourras niquer sans…Mais te plains pas si tu attrapes quelque chose Dans le clair-obscur de la salle la tournante continue sur moi. Je suis toujours en levrette offerte à la foule. D’autres essayent de me palper ou de se frotter. Ils se branlent contre moi en attendant leur tour de me passer sur le cul. Plusieurs d'entre eux m’ont déjà giclé sur le visage, d’autres sur le dos. Je suis dégoulinant de sperme et de sueur. Un vrai bain. J’entends le flop des grosses gouttes de foutre qui s’écrasent au sol. Derrière les mecs me pilonnent toujours et se relayent. Mon anus est tellement dilaté que je ne perçois mais pas toujours quand ça décharge à travers les capotes Oui c'est ça l'abattage. Quand cela s’apaise autour de moi je me redresse et guidé par Farid je remonte l’allée tripotée par des mains qui surgissent de partout ! Mais mon garde du corps m'impose un programme précis. IL m’indique une rangée de fauteuils avec une enfilade de bites à l’air! Voilà mon chantier. Le premier client est obèse. Il a ouvert sa chemise et baissé complètement son froc. Dans l'obscurité je perçois un corps flasque, une poitrine qui tombe et un ventre blanc répugnant qui occupe presque tout l'espace ou je dois m'accroupir. Je le sauterai volontiers mais mon protecteur surveille et je ne sais s'il accepte que je devienne sélectif. Ou plutôt je ne connais que trop la réponse. Alors je me mets au travail résigné. C'est une besogne classique de pompe, pendant que les spectateurs regardent le film. Certains ne baissent même pas les yeux de l’écran mais m’enfournent leur bite dans la bouche. Du travail à la chaîne. Je passe quelques minutes sur chacun. Puis quand je sens que ça vient je recule mon visage et je branle. L'homme se laisse alors aller à une éjaculation faciale qui m’éclabousse un peu plus le visage. Je passe alors au suivant. C'est est un beau mâle brun de 35 ans moustache et regard noir que j'entrevois dés que la luminosité de l'écran monte en intensité. Sa queue longue et fine est déjà raide. Je le pompe comme une machine. Il me presse la nuque et m'enfonce son pieu. L'éjaculation me semble proche. Je me retire pour le faire décharger sur mon visage. Mais son regard devient furieux et il éructe : - Suce et avale tout salope ! - Jouis-moi sur le visage si tu veux, mais je n’avale pas chéri. Pendant trente secondes, il me bloque sur sa bite me tenant le cou. J’étouffe presque. Je fige ma langue pour l’apaiser. J'essaye de tirer ma tête en arrière sans pouvoir mais il maintient sa prise. Fort heureusement il ne peut ignorer que j’ai un protecteur qui surveille au bout de la rangée. Il finit par me repousser. - Va te faire foutre sale putaine! Une autre lope débutante qui pompe deux fauteuils plus loin a vu l'incident et me demande: - Tu avales toi? ils me demandent tous ça... - Ca m'arrive mais jamais ici… - Moi non plus mais c’est douche et shampoing de sperme assurés! Soupire-t-elle C'est vrai j'en ai partout même sur ma perruque. Puis je passe dans une autre salle de projection. Même film, même spectacle dans les allées et la circulation est permanente entre les salles. Toujours des hommes qui vont, qui viennent et se découpent en ombre chinoise avec des silhouettes de rapaces, à la recherche d'un trou libre.Farid m’a montré du doigt l'issue de secours. Un geste qui ne se discute pas. Je m'exécute et il m’entraîne vers une sortie, aussitôt suivi par des hommes qui continuent à me palper les fesses. Mais d'un autre geste autoritaire mon protecteur leur fait comprendre que mon cul n'est pour l'instant plus disponible.. Nous nous engouffrons dans un escalier qui lui est éclairé. J'en profite pour remonter mes bas réajustés mes dessous. Un homme d' environ 55 ans légèrement bedonnant, est là. Il tient bien serré contre lui, une serviette de cuir avec une gabardine de bonne qualité, comme s'il craignait qu'on les lui voile. C'est un européen, Il porte une alliance. Il pourrait être médecin, professeur, employé de banque…je ne sais. Je remarque qu’il a une alliance au doigt. Il me sourit bêtement. Il a certainement payé Farid pour avoir mon trou en solo. Il a l’air coincé et je dois lui défaire son pantalon qui tombe sur les chevilles ce qui a l'air de le décontenancer. Je le branle sans perdre de temps. Sa queue sent la savonnette parfumée. Elle est de bonne taille mais assez molle. Je la suce un moment. Quelques petits coups de langue aussi sur les couilles. La verge commence à durcir convenablement. Je lui enfile une capote. Je me tourne très vite et je me mets en levrette. Mais il débande avant de pouvoir m'enfiler sans même avoir trouvé mon trou qui est pourtant bien large! Le client est visiblement perturbé par le va et vient autour de nous car pas loin de moi deux autres meuf sont au travail. Avec lui je ne suis pas sorti de l’auberge. Il faut pourtant le faire jouir. Je m'agenouille à nouveau devant sa bite et je lui retire la capote. Je dois reprendre le travail à zero car elle s'est rétractée. Je lui masse les couilles puis je lui taille une autre pipe. Il ferme les yeux de plaisir. Je joue de la langue sur son gland. Il n’a toujours pas lâché sa serviette! Je retire ma bouche un instant pour relancer un massage. - Allez mon chéri je suis sûr que t’aimes les grosses putes comme moi. Ta femme ne te pompe pas ? Tu lui montreras maintenant comment elle doit te sucer. Quand tu sens que ça vient, tu sors ta bite et tu lâches tout sur mon visage chéri… Souvent une petite incitation sert de déclic. Et c’est encore le cas. Est ce l'évocation de sa femme? Sa queue s’est soudainement raidie, je le luis presse les couilles, je saisis sa verge pour lui enlever la capote et subir l'inévitable éjaculation faciale. Elle arrive. Ce n'est pas un jet très puissant mais ça ruisselle sur mon visage et il a l'air comblé. Farid qui observe de loin semble soulagé. C’est aussi sa réputation qui est en jeu. Combien a-t-il encaissé pour me vendre à ce mec ? Je ne le saurai pas bien sûr. Avec un kleenex j'enlève le petit filet qui traîne encore sur le bout du gland. C’est fini pource monsieur. Il remonte précipitamment son froc et se sauve, sa serviette qu'il n'a jamais lâchée toujours à la main. Quelques instants plus tard, je travaille toujours en individuel un autre client. Beaucoup plus à l’aise lui. C'est un commerçant bien mis et bien rond. Il a une bite très épaisse et il m’inonde tres vite sans m’enculer. J' ai du sperme partout. Mais il est content, Avant de partir, il remercie Farid en lui parlant à l'oreille et en lui glissant un petit billet. Il est 20 heures. L'heure creuse. Les bons maris sont déjà rentrés chez eux câliner leur femme. Je fais le tour des salles et je tire encore quelques pipe par-ci par-là. Mais le coup de feu est passé bien que certains continue de fixer l'écran en attendant que l'excitation revienne. Je dis à Farid que j'ai eu ma ration et que je vais m’en aller. Mais je connais les bons usages. Je sais qu’avant de partir, je dois suivre mon protecteur dans une rangée plus clairsemée vers les premiers rangs pour le payer de sa protection. Cette fois le travail doit être soigné. Il s’installe sort sa belle bite cuivrée par les reflets de lumière qui proviennent de la projection. Je la suce beaucoup plus longuement, plus minutieusement, en lui décalottant bien le gland, en jouant de la langue sur la pointe. Il ponctue mes efforts pas des « Salope! » qui se veulent des compliments ! D'ailleurs la dimension prise par sa queue dans ma bouche est la meilleure note qu'il puisse me donner. C'est le moment de lui enfiler la capote. Il se laisse faire puis soudain me soulève par les aisselles, me place à califourchon sur ses genoux et m’empale carrément sur sa queue dure comme du bois. Je ne suis pas surpris, c’est sa manière habituelle de me baiser. Je gigote, je joue des contractions de mon cul que je dilate et resserre a volonté. Il me fait faire le piston. Le mouvement s’accélère, je couine fort pour l'exciter. Quelques voyeurs se sont rapprochés pour jouir du spectacle. Farid accélère encore le mouvement, sa queue me lime à fond. Il ne temporise pas et il jouit dans un soupir. J’ai senti la décharge malgré la capote ! Encore quelques spasmes et il est satisfait. Mais je suis sûr qu’il pourrait recommencer dans dix minutes. Peut-être le fera-t-il avec une autre meuf, car il en a plusieurs. Je me redresse et sa queue me sort lentement du cul. Il retire sa capote bien remplie et la jette sans se gêner à ses pieds. Je n’ai plus qu’à remettre, mon jean, ma doudoune et mes chaussures. Nous sortons dans le couloir. - Au fait Sandra me dit-il faudra qu'on discute sérieusement.Je te l’ai dit j'ai un ami qui a un sauna ou on aime les super culs comme le tien et tu seras mieux que dans ce bordel crasseux... Son ton est devenu plus dur. Je sais qu'au bout de la discussion se profilerait pour moi une prostitution régulière dans ce fameux sauna§ Mais Farid ignore pour l'instant tout de moi et ne saurait même imaginé que je suis un notable marié ! S’il le savait persisterait-il dans son intention de me mettre au tapin ? Difficile à dire d'autant plus qu'il n'a pas l'étoffe d'un proxo endurci. Alors dans le doute je donne du mou a la corde que je n'ai pas encore à la patte. Je le désarme par un sourire de salope. Ce soir je suis crevé mon chou, tu as vu tout ce qui m'est passé dessus? Une autre fois si t tu veux... Il ne veut pas encore me brusquer. Il n'insiste pas, et se contente de me mettre sa main aux fesses pour bien me signifier qu’ici au CinéVénus je fais partie de son cheptel Avant que je redescende l'escalie,r il me lance : « Sandra si tu croises le patron soit gentille avec lui... » J'acquiesce de la tête docilement. Je sais ce que ça veut dire. Pas la peine de me faire un dessein. Le patron avec qui il faut être gentille, et pour cause, c'est le gérant du ciné. Il est effectivement à la caisse mais n'a pas ce soir d'exigence particulière. Question routinière. - Ca s’est bien passé Sandra? - Très, très bien! - Viens à des heures plus creuses la prochaine fois…Ou je peux m’absenter de la caisse. Je comprends l’allusion. Lui aussi m’a déjà enculé dans l’escalier de secours. Dehors il fait nuit. Tant mieux car personne ne risque de me reconnaître. Je pense déja au bain que je vais me faire couler pour y rester des lustres. Une habitude qui est celle de toutes les putains, mes sœurs.
Par fabienne soubrette male feminisée
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